L'insertion professionnelle

L’insertion professionnelle

Publié le 25 avril 2023

 

Dans les six mois suivant l’obtention de leur titre de concepteur artistique/réalisateur (Bac+5), 75 % des étudiants accèdent à un emploi dans leur domaine d’études. En moyenne, 91% d’entre eux sont en activité dans les métiers visés par leur certification deux ans après l’obtention de cette dernière. 

Les formations de l’École Émile Cohl poursuivent une finalité professionnelle : elle conduisent aux métiers artistiques pour lesquels les Cohliens se sont préparés tout au long de leur cursus.

Après l’obtention des titres de fin d’étude (bac+5), l’accès à l’emploi est rapide car les étudiants ont bénéficié de bonnes conditions d’apprentissage : l’enseignement a été rigoureux et dispensé par des professeurs et artistes issus de nombreuses disciplines, dans une école ouverte sur le monde professionnel et reconnue par les entreprises de l’image. Les étudiants ont aussi bénéficié d’un accompagnement à l’emploi, ils ont accompli un stage de longue durée et participé à une journée de recrutement organisée par l’école, avec près de 70 entreprises.

Ce sont dans les studios de cinéma d’animation, de jeu vidéo et de création 2D/3D ou de communication visuelle que les carrières démarrent le plus vite, en France ou à l’international. Les étudiants ont une double approche de praticiens et de concepteurs de projets, ce qui leur ouvre d’emblée différents choix de métiers.

Quand ils sont engagés en tant qu’artistes juniors, ils intègrent leur équipe en tant que storyboarder, layout artist, animateur, auteur graphique, modeleur ou concept artist. Quand ils décident de travailler en free lance, ils se positionnent directement sur des missions de direction artistique ou de conception-réalisation d’œuvres animées.

Dans les métiers du livre, la régularité des contrats d’édition s’obtient généralement après trois années d’expérience. Les Cohliens de la spécialisation édition multimédia sont cependant dans l’emploi dès les premiers mois de leur sortie de l’école. Car parallèlement à leurs projets éditoriaux, ils tirent leurs revenus de travaux de commande : illustrations en agence, dessins de presse, scénographies d’exposition, animation de films, ou direction artistique de BD. Certains visent aussi des résidences d’artistes.

Rappelons que :

Les jeunes artistes accèdent à l’emploi selon un statut salarié ou non-salarié. Les CDD et CDI ne sont pas à exclure, toutefois les formes d’emploi les plus fréquentes sont les CDD d’usage des intermittents du spectacle et les contrats passés sous le régime des artistes-auteurs (free lance). Il est également fréquent de combiner plusieurs contrats (multisalariat) ou statuts (salarié et free lance).

Pour toute demande de renseignement sur l’insertion des Cohliens, contactez Silvia Baggiani (sb@cohl.fr), responsable du service des stages et de l’accompagnement à l’emploi.

 

Extrait de la JPO du 21 novembre 2020